De nombreux opérateurs ont déjà construit un partenariat avec l’Allemagne et la majorité d’entre eux souhaitent obtenir une autorisation dans ce pays afin d’exploiter un maximum de jeux. Cependant, la loi en vigueur dans ce domaine reste contraignante et renferme des conditions parfois excessives. De ce fait, la cour de justice européenne veut absolument changer la donne.
L’obtention d’une licence : les formalités à savoir
En 2012, l’Allemagne sort une loi qui empêche les opérateurs disposant déjà d’un certificat étranger à en posséder un autre. Ce qui implique l’interdiction d’avoir deux licences entraînant la réticence des développeurs à investir sur le marché allemand. Seuls les paris sportifs ont su parvenir à acquérir les droits d’utilisation à l’inverse du poker et des jeux d’argent, quasiment interdits et prohibés. Certains décident d’user de méthodes séductrices en vue d’appâter l’Allemagne comme on le remarque chez BETSSON. La situation ressemble fortement à celle de la France où on constate un vide juridique dans le secteur.
L’Allemagne obligée de respecter les lois européennes
Les modalités d’acquisition de la licence dans le territoire restent strictes et difficiles à conclure. La meilleure solution serait d’agencer équitablement les règles en vigueur et analyser le fond du problème en opérant une modification radicale. De plus, bon nombre d’entreprises leader du marché critiquent fortement ce type de gestion. Depuis 2008, sa politique vise un objectif bien précis celui de privilégier le monopole d’État allemand sur les jeux en interdisant les opérateurs étrangers de profiter de l’aubaine. Ainsi, la réglementation semble trop restrictive leur permettant de conserver un secteur lucratif et avantageux. De même pour les établissements terrestres qui nécessitent un long processus quant aux demandes administratives.
Face à des contraintes apparentes, l’Allemagne doit prendre une décision et suivre le chemin des États européens dans le but d’établir une concurrence.